Pour la première fois à la télévision, une grande rétrospective est consacrée au maître de l'animation japonaise, Hayao Miyazaki. Six films à savourer chaque soir, du 5 au 22 avril.

La rétrospective commence par Le Voyage de Chihiro, diffusé le 5 avril à 20 h 35. Chihiro, 10 ans, a tout d'une petite fille capricieuse. Lorsque ses parents lui annoncent qu'ils doivent déménager, elle leur fait part de son mécontentement. Bientôt sujette à des prémonitions inquiétantes, Chihiro les pousse à fuir au plus vite la ville étrangement déserte dans laquelle ils ont fait halte après s'être égarés. Mais ses parents refusent de partir et se retrouvent transformés en porcs. La fillette va devoir se rendre au Pays des Esprits pour leur porter secours.

Suivront, les lundis et jeudis à 20 h 35, Mon voisin Totoro, Le château ambulant, Nausicaä de la vallée des vents, Pincesse Mononoké et pour finir Le château dans le ciel. Si vous ne connaissez pas le monde fantastique de Miyazaki, c'est une occasion unique !

► Pour en savoir plus...

L'association vous propose une fois par mois un atelier Origami. Vous ne connaissez pas encore l'origami ? C'est l'art du pliage du papier, dans lequel la plupart des Japonais excellent. Alors rendez-vous jeudi 1^er avril, à 20 h, dans l'une des salles annexes de la mairie de Compiègne, rue de la Surveillance.

Amateur ou « plieur confirmé », vous êtes les bienvenus à cet atelier. Peut-être aurez-vous l'occasion de faire un pliage de poisson... d'avril !

Lirécrire vous invite ce jeudi 25 mars à son Kukaï du printemps, à Beauvais. Le kukaï, c'est un atelier de haïkus, les célèbres poèmes japonais de 17 pieds. Rendez-vous est donné à 19 h 30, au Café Nota Bene du Théâtre du Beauvaisis. Une occasion de découvrir le haïku.

Vous êtes invités à venir avec trois textes, de votre cru ou non.

Première hirondelle -
dans le stade de base-ball
des milliers de places vides

Imai Sei

► En savoir plus sur le haïku (avec Wikipedia)
► En savoir plus sur les Éditions L'iroli

Vous avez peut-être remarqué qu'une nouvelle rubrique est apparue sur le site : les photos. Dernière arrivée sous cette rubrique, une sélection de photos prises lors du premier tounoi de go de Compiègne, en avril 2009.

Cette rubrique sera prochainement enrichie avec les temps forts de la vie de l'association : visite des collégiens ou de délégations de Shirakawa, fêtes de l'association, activités... Et pourquoi pas de reportages de membres qui ont eu la chance d'aller à la découverte du Japon ou qui souhaitent nous faire partager une expérience relative au Japon et à sa culture, comme c'est le cas avec la maison de Kiso.

Les diaporamas sont acessibles depuis la colonne de gauche ou dans le menu du haut. Pour y accéder, il suffit de se créer un compte sur le site. C'est gratuit !

Arte propose le documentaire Mourir d'amour jeudi 18 mars à 22 h 15. La chaîne termine ainsi une série incroyable de documentaires, films et séries japonais ou sur le Japon. Le Japon a longtemps joui d'une solide tradition culturelle en matière d'érotisme. Jusqu'au tournant de l'ère Meiji, en 1867, et de l'ouverture sur l'Occident, une grande tolérance entourait les diverses pratiques sexuelles. C'est ainsi que, dès le XVI^e siècle, des « shunga », des « images de printemps », réunies dans des « livres d'oreiller », et peintes par de grands artistes, contribuaient à l'éducation des jeunes gens. Les années 60 et leur permissivité déjà mondialisée ont permis aux cinéastes, notamment, de renouer avec cet héritage. Une continuité de thème se dégage. La femme y est tantôt soumise, tantôt dévoratrice, comme dans le film « Audition », de Takashi Miike.

Ce documentaire allemand, de 75 minutes, a été réalisé en 2005. Il sera rediffusé le 24 mars 2010 à 0 h 50 (fin de soirée du mardi 23 mars).

Retrouvez ce jeudi 18 mars sur Arte Tabou, de Nagisa Oshima. Kyoto, au printemps 1865. Sozaburo et Hyozo viennent tous deux d'être embrigadés, au temple Nishi-Honganji, dans une prestigieuse milice composée exclusivement de samouraïs. Sozaburo, par son aspect androgyne, trouble tous les soldats, suscitant bien des convoitises. Bien que rien dans la milice n'interdise les amours entre hommes, certains d'entre eux le désirent en secret, même si Sozaburo clame haut et fort qu'il n'aime pas les garçons. Lorsqu'on retrouve le corps sans vie d'un soldat, c'est Sozaburo qui est chargé d'exécuter le principal suspect, qui n'est autre que Hyozo, soupçonné d'avoir tué par jalousie...

Ce film est diffusé en version multilingue. D'une durée de 99 minutes, la première diffusion est prévue le 18 à 20 h 35. Il sera rediffusé le 26 mars à 1 h 35 (fin de soirée du 25) et le 29 mars à 3 h (fin de soirée du 28).

Nous vous invitons à enregistrer ce film pour ne pas rater le cours d'initiation proposé par l'association à la même heure (20 h - 22 h) !

Mercredi 17 mars est placé sous le signe du Japon sur Arte. Documentaires, séries, films japonais ou sur le Japon sont à l'honneur.

9 h 15 : L'empire des animaux
Au Japon, culture et religion sont étroitement liées au monde animalier. Gerd Anhalt, le correspondant de la ZDF à Tokyo, est parti à la découverte de la faune japonaise et de ses représentations. Ici, les grues sont considérées comme des porte-bonheur, les ours sont des animaux sacrés et les chiens font l'objet d'un amour qui frise la dévotion. Quant aux corneilles, jadis tenues pour des émissaires divins, elles sont devenues aujourd'hui un véritable fléau à Tokyo.
Documentaire allemand de Gert Anhalt (2005)
43 minutes

14 h 00 : Shogun (épisode 3)
Une série culte dans le Japon médiéval, à suivre du lundi au vendredi jusqu'au 20 mars.
Série états-unienne de Jerry London (1980)
43 minutes

16 h 45 : Nippon, dieux des montagnes et hommes d'affaires
Une grande traversée du Japon, où tradition et modernité se mélangent avec raffinement. Jusqu'à jeudi.
Documentaire états-unien de Karin Muller (2006)
54 minutes

19 h 50 : Shogun (épisode 8)
Tirée d'un roman de James Clavell, la série fait mouche dès sa diffusion en 1980 : outre le succès public, cette plongée dans la culture japonaise rafle le Prix de la meilleure série aux Golden Globes et aux Emmy Awards. Shogun séduit alors par sa manière de transgresser les tabous en abordant crûment la sexualité, le suicide ou la décapitation. Mais aussi par le charme irrésistible de Richard Chamberlain et de l'acteur fétiche d'Akira Kurosawa, Toshiro Mifune, enfin consacré en Occident.
Série états-unienne de Jerry London (1980)
43 minutes

20 h 35 : Nous étions kamikazes
Puissante incarnation du fanatisme, les pilotes kamikazes restent largement respectés au Japon pour leur sacrifice désintéressé à la nation. En-dehors de l'archipel, peu de gens savent que des centaines d'entre eux ont survécu à la guerre, attendant encore au moment de la capitulation un ordre de mission qui n'arriva jamais. Risa Morimoto, réalisatrice américaine d'origine nippone, a découvert il y a quelques années que son oncle avait suivi un entraînement de kamikaze dans sa jeunesse et qu'il avait gardé le secret sur cet épisode de sa vie jusqu'à sa mort. Pour comprendre, elle est partie à la rencontre d'autres pilotes survivants et, avec eux, retrace ces années cruciales du Japon en guerre.
Documentaire états-unien de Linda Hoaglund et Risa Morimoto (2007)
89 minutes
Rediffusions le samedi 20 mars à 16 h 15 et le mardi 23 mars à 3 h.

23 h 05 : Le samouraï du crépuscule
Dans le Japon du début du XIX^e siècle, à l'aube de l'ère Meiji. À la mort de sa femme, un samouraï de basse caste, Seibei, doit s'occuper de sa mère malade et de ses deux fillettes. Comme il rentre tôt de son travail, ses collègues le surnomment « Crépuscule ». Ils lui conseillent de se remarier mais, étant pauvre, il devra accepter n'importe quelle femme. Un jour réapparaît Tomoe, son amour de jeunesse, qui a divorcé d'un mari alcoolique et brutal. Seibei succombe de nouveau à ses charmes. L'ex-mari les surprend et provoque Seibei en duel : ce dernier arrive à le vaincre avec une épée de bois, en usant de techniques enseignées par un vieux maître. La rumeur de sa victoire se répand et son clan le désigne pour mater un samouraï dangereux...
Film japonais de Yoji Yamada (2002)
129 minutes - Diffusion en VO sous-titrée
Rediffusion le 7 avril à 0 h 40

Du 15 au 18 mars, Arte propose une série de quatre documentaires, pour une traversée éblouissante du Japon. Sur la route ancienne du Tokaido, reliant l'ancienne Edo (Tokyo) à Kyoto, le premier volet nous conduit du pied du mont Fuji à un antique festival shinto, de la rencontre d'une ancienne geisha à l'art zen de l'épée.

Le second volet propose un périple à Koyasan, grand sanctuaire bouddhiste au nord de Kyoto, puis à la fête des morts de Miyazu, en passant par l'île de Shikoku. Où l'on découvre la religion la plus ancienne du Japon, le shintoïsme, et l'art du sumo.

Troisième volet : les dieux des montagnes et les hommes d'affaires. Le quatrième volet terminera ce périple.

Réalisé en 2006 par Karin Muller, chaque épisode est diffusé de lundi au jeudi à 16 h 45 et dure 54 minutes. Le documentaire est rediffusé sept jour plus tard à 9 h 15. Autrement dit du 22 au 25 mars.

Grâce à Arte, retrouvez les six volets de la série Kozure Ôkami, adaptée de l'hallucinant manga Lone Wolf & Cub. La fonction de bourreau qu'Ogami Itto remplit pour le shogun lui apporte prestige et reconnaissance. Mais cette situation honorable attise la jalousie des maîtres d'armes du haut personnage. Aussi, quand l'épouse d'Itto est assassinée en même temps que le reste de sa famille et que lui-même est injustement accusé de fomenter un complot contre la tête de l'État, il se voit contraint de retourner son sabre contre l'autorité. Désormais en disgrâce, il part sur les routes afin de se venger de ses ennemis. Son fils Daïgoro, âgé de quelques mois, seul rescapé de sa famille, l'accompagne dans ses pérégrinations à travers le Japon...

Film de 1972 de Kenji Misumi, Kozure Ôkami, le sabre de la vengeance est diffusé à partir du samedi 13 mars à 0 h 35 (fin de soirée du vendredi). Les 6 volets sont diffusés chaque semaine jusqu'au 17 avril. Chaque épisode est rediffusé le vendredi suivant à 3 h du matin (fin de soirée du jeudi).

► Pour en savoir plus...

Achille et la tortue, le nouveau film de Takeshi Kitano, sort dans les salles le 10 mars. Il s'agit du troisième film de réflexion de Kitano sur sa condition d'artiste. Machisu, un peintre sans talent, persiste à vouloir exercer son art.

A priori, ce film n'est pas programmé à Compiègne. Il faudra donc aller à Paris pour le voir, a fortiori pour profiter d'une projection en version originale.

Scénariste et réalisateur Takeshi est souvent l'acteur principal de ses films. Il a réalisé de nombreux films, dont Jugatsu (1990), Sonatine (1993), Hana-Bi (1997), L'Été de Kikujiro (1999) ou encore Aniki, mon frère (2000).

Le Monde Magazine du 6 mars 2010 consacre un long article à Kitano, avec une photo du 'Maestro' en couverture.

Arte diffuse le 8 mars à 20 h 35 Les septs samourais. Dans le Japon du XVIe siècle, des paysans persécutés par une bande de brigands engagent sept samouraïs pour défendre leur village. Kurosawa signe ici l'un de ses chefs-d'oeuvre.

Au XVI^e siècle, époque de grande violence au Japon, une bande de guerriers sans pitié opprime et rançonne un village de paysans. Désespérés, ces derniers se résolvent à engager des samouraïs pour les protéger. Kambei, aidé de son disciple Katsushiro, recrute quatre soldats errants ainsi qu'un demi-fou, Kikuchiyo. Peu à peu, ils s'intègrent au village dans un climat de confiance. Grâce à un entraînement intensif, et parfois cocasse, les villageois se préparent à défendre leurs biens et à combattre aux côtés des samouraïs...

Ce fut longtemps le film le plus cher de l'histoire du cinéma nippon. Confrontés à un tournage long et difficile, les dirigeants de la Toho faillirent même abandonner le projet. Mais la version intégrale proposée ce soir par ARTE prouve que Les sept samouraïs est un chef-d'oeuvre, bien plus qu'un simple western japonais. D'ailleurs, si Kurosawa a pu se dire influencé par John Ford, c'est son film qui a suscité un remake sous forme de western (le trop élaboré Les sept mercenaires) et non l'inverse. Dans la scène du combat final - d'une intensité et d'une férocité rares -, Kurosawa s'affirme comme l'un des plus grands cinéastes de la pluie. L'assaut final est filmé avec de nombreuses caméras et une multitude de plans latéraux qui, dans un montage rapide accélérant l'action, contribuent à l'aspect frénétique et mémorable de la scène.

À partir du 8 mars, Arte propose une série de films et de documentaires sur le Japon. Début des réjouissances le lundi 8 à 16 h 55, avec une série documentaire. Lundi 8 : Le feu et la glace, mardi 9 : Tropical et animal, jeudi 11 : Le katana, sabre de samouraï, et vendredi 12 : Geisha, le crépuscule des fleurs.

Toujours à partir du 8 mars, la mythique série Shogun sera diffusée chaque soir à 19 h 50. Chacun des 10 épisodes, d'une durée de 43 minutes, est programmé entre le 8 et le 20 mars. Dans le Japon féodal, un marin anglais devient le premier samouraï étranger. Une série culte à suivre du lundi au vendredi à 19.50, jusqu'au 20 mars. Tirée d'un roman de James Clavell, la série fait mouche dès sa diffusion en 1980 : outre le succès public, cette plongée dans la culture japonaise rafle le Prix de la meilleure série aux Golden Globes et aux Emmy Awards. Shogun séduit alors par sa manière de transgresser les tabous en abordant crûment la sexualité, le suicide ou la décapitation. Mais aussi par le charme irrésistible de Richard Chamberlain et de l'acteur fétiche d'Akira Kurosawa, Toshiro Mifune, enfin consacré en Occident.

De nombreux films japonais sont également programmés à compter du 8 mars. Nous vous en parlerons très prochainement.

À vos magnétoscopes...

Nouveau sondage en ligne : êtes-vous déjà allé au Japon ? Internautes de tous horizons, qui fréquentez ce site et vous intéressez à la culture japonaise, à la langue ou aux activités d'une association franco-japonaise, un voyage au Japon est-il la cause ou la conséquence de votre intérêt. Dites-nous combien de fois vous êtes allés dans ce pays étonnant !

Arte propose ce jeudi 11 février un reportage tourné au Japon sur le fugu. Fort prisé au Japon, le fugu est un poisson qu'il faut pêcher, découper et préparer avec une extrême prudence. Le jeune apprenti Atsuhi apprend l'art de la découpe du fugu auprès du cuisinier Miura. Pour servir ce poisson aux gourmets, les chefs japonais doivent obtenir un diplôme. Car séparer les filets des viscères suppose de manier à la perfection un couteau spécial. Faute de quoi se diffusera un poison aux effets foudroyants.

► Le fugu - Un poisson mortel
Arte (Japon, 2009, 43 min.)
1^re diffusion : jeudi 11 février à 19 h 50
Rediffusions : jeudi 18 février à 14 h
Réalisateur: John Wate

La chaîne Planète propose le dimanche 31 janvier à 22 h 40 un reportage inédit sur le Japon. Noaki, 56 ans, avait tout ce qu'il désirait à l'époque où le Japon vivait dans sa bulle économique. Il conduisait une belle voiture allemande et habitait dans une maison de six pièces. En 1992, lorsque l'économie nippone est entrée en récession, il a tout perdu. Sa nouvelle petite amie, Yoshie, 29 ans, l'a alors accueilli chez elle pour lui éviter de finir à la rue. Yoshie cumule trois emplois et travaille quinze heures par jour pour subvenir à ses besoins.

Un documentaire de Sean McAllister (Grande-Bretagne, 2008).
Durée : 60 minutes.
Rédiffusion : le 6 février 2010 à 2 h 25.

► Pour en savoir plus : la critique de Télérama

Le site de l'association Compiègne-Shirakawa est référencé depuis peu dans l'annuaire des flux RSS : fluxrss.fr. Cet annuaire spécialisé répertorie plus de 10 000 flux auquels il est ensuite possible de s'abonner. Pour consulter les flux qui parlent du Japon, il suffit de taper le mot clé « Japon » dans l'annuaire ou tout simplement de cliquer ici. Une sélection de flux est actuellement accessible depuis ce site, sous la rubrique « Nouvelles du japon ».

Si vous êtes abonnés à Ciné Cinéma Club et que vous n'êtes pas allergiques aux films d'horreur, ne manquez pas « Au pays des fantômes », tous les samedis à 20 h 40. Située à l'ère Edo (1603-1868), cette série est inédite en France. Elle a été tournée à la fin des années 1970, dans un format 16 mm. Une grande partie de cette série à été réalisée par deux grands maîtres du cinéma d'épouvante : Teruo Ishii et Nobuo Nakagawa, qui avait réalisé notamment « Histoire de fantômes japonais » en 1959 et sorti en France en 1994.

Le premier épisode se déroule dans le village de Hanyu, en 1773. Shinzaemon, un homme criblé de dettes, assassine son créancier, Sôetsu, avant de se donner la mort. Douze ans plus tard, Toyoshiga, la fille de Sôetsu, se fiance avec Shinkichi, le fils de Shinzaemon. Le jeune couple ignore le terrible passé de leurs parents. Attiré par l'une des élèves de sa fiancée, Shinkichi empoisonne sa promise. Défigurée par un abcès, Toyoshiga meurt terrassée par le poison. En compagnie du fantôme de son père, elle revient hanter les deux amants.

Cette série en treize épisodes est diffusée sur Ciné Cinéma Club tous les samedis à 20 h 40 à partir du 16 janvier. Elle fait l'objet d'une seconde diffusion le dimanche à 14 h 05. Chaque épisode dure 50 minutes. La série est interdite aux moins de 12 ans.

Le magazine Globalmag, d'Arte, propose ce lundi 11 janvier  à 19 h 30 un reportage sur le Japon. Ce magazine prend le pouls de la planète et fait de la défense de l'environnement l'affaire de tous. Du lundi au jeudi, Émilie Aubry emmène les téléspectateurs à l'autre bout du monde ou au coin de la rue pour ausculter les maux du village global et, surtout, pour imaginer ensemble comment y remédier. Au sommaire de l'édition du 11 janvier : les requins menacés ; les Japonais, champions du tri sélectif ; la lingerie « verte » encore balbutiante ; comment « donner sans donner » aux causes humanitaires sur Internet.

Cette émission dure 20 minutes. Pour ceux qui l'auront ratée, elle est rediffusée le 12 janvier à 12 h 20.